Deglet Nour : L’Algérie, premier producteur mondial
Deglet Nour : L’Algérie, premier producteur mondial

Deglet Nour : L’Algérie, premier producteur mondial
« Albayazin » vient de frapper un grand coup.Pour la première fois, Albayazin nous propose l’ALGERIE simultanément en 3 versions : Arabe, Française et Anglaise. Il s’agit d’ouvrages de 500 pages chacun, abondamment illustrés, s’adressant d’abord aux lecteurs nationaux qui y trouveront, sans aucun doute, des informations sur leur pays que beaucoup ne connaissaient pas, mais ils s’adressent aussi aux lecteurs étrangers curieux de connaître un peu plus le passé, les richesses naturelles, archéologiques, économiques et touristiques de ce pays, le plus grand d’Afrique et pourtant si mal connu. L’ouvrage nous fournit d’abord un éclairage furtif sur l’histoire singulière et passionnante de...
Algeria Tourism conférence&Awards 2022 Organisé pour le WORLD TRADE CENTER D’ALGER 2022 Le 6 avril 2022 s’ est tenue au Centre international des conférences (CIC) Abdellatif Rahal, la cérémonie de remise des prix aux lauréats. Cette cérémonie était présidée par M. Yacine Hamadi, ministre du tourisme et de l’artisanat en présence de plusieurs membres du gouvernement. Le prix du meilleur guide touristique de l’année a été attribué à la maison d’édition «Al Bayazin», le DG du World Trade Center d’Alger, Ahmed Tibaoui « a souligné l’importance d’honorer les lauréats ayant excellé dans le domaine du tourisme, insistant également sur la valorisation...
LE CORAN TRADUCTION DU SENS DE SES VERSETS ET ANNOTATIONS PAR MESSAOUD BOUDJENOUN/ KAMEL CHEKKAT Editions Albayazin, en partenariat avec imprimerie Ed-Diwan. En l’achetant, vous aurez entre vos mains, la première traduction en langue française « algérienne » du Noble Coran. En tout cas, la première depuis l’indépendance de notre pays. Oui, c’est la première, « entièrement algérienne » et voila pourquoi. En Algérie, la première traduction du Coran en langue française est parue à Oran en 1934, chez un éditeur français « Editions Heintz frères ». Elle est l’oeuvre de deux médersiens algériens, le professeur et avocat Ahmed Laimèche et l’interprète Benaouda Ben Daoud. Depuis cette date,...
Béjaïa, celle qui était connue sous l’empire romain avec l’appellation de Civitas Salditana, possédait tout naturellement un nom berbère qui a subi autant de déclinaisons que d’occupants. Elle aura été, tantôt arabisée, tantôt latinisée, s’adaptant aux alphabets des uns et des autres. La toponymie actuelle de Béjaïa viendrait donc du berbère Tabgayet – où l’on reconnaît le « t » marquant le féminin mais dont l’usage s’est effacé avec le temps. Il viendrait du mot:« tabegga » qui veut dire « ronces ». Cette racine berbère se retrouve également dans d’autres villes du Maghreb, à l’instar de Dougga (Thugga) et...
“Argel” pour les espagnols, “Algieri” pour les italiens, “Algiers” pour les anglais et les hollandais, “Algier” pour les allemands, telles sont les transcriptions d’El-Djazaïr dans les langues des peuples d’Europe qui ont eu des relations anciennes avec la capitale algérienne. Alger Le nom français, à savoir «Alger», tire son origine des premières transcriptions de “El-Djazaïr” par les navigateurs catalans, pisans et génois qui commerçaient avec le pays. Les plus anciens documents cartographiques connus sur lesquels figure une transcription européenne d'«El-Djazaïr» sont : un portulan du XIIIe siècle, conservé à Gênes et une carte pisane de la Bibliothèque Nationale de Paris...
Parmi les plus gros hold-up de l'histoire, on a souvent cité l’affaire du train postal, Glasgow-Londres, en Août 1963, ou plus récemment, le cambriolage d’au moins 52 millions d'euros à la banque centrale de Fortaleza, au Brésil… mais, jamais l’on a assimilé le pillage du Trésor d’Alger, le 5 Juillet 1830, à un détournement en bonne et due forme. Et pourtant, tout a commencé par un sombre scenario, fomenté par l’Etat Français de l’époque, qui consistait à faire main basse sur les immenses trésors de la Régence d'Alger, dans le seul but de bâtir la fortune secrète de Charles X....
Le cheval barbe symbole de la fierté des populations des Hautes plaines steppiques jouit d’une place privilégiée dans la vie affective du bedoin. Sa maniabilité en fait le cheval de fantasia par excellence. La fantasia est sou- mise à un ensemble de comportements codifiés. L’ambiance, engendrée par les cavalcades bruyantes des groupes, les coups de feu retentissants et l’odeur de la poudre crée une atmosphère particulère. Dans le centre et l’ouest du pays, on peut assister encore à des fantasias de groupes qui s’opèrent avec une dizaine de cavaliers. Ils galopent côte à côte et arrêtent leurs montures après leur...
En cet été 2022, El Bahia change de visage et conserve sa légendaire douceur de vivre El Bahia, la belle, n’est pas un nom usurpé pour Oran, c’est un synonyme, un second nom mérité. En cet été 2022, sous le soleil méditerranéen, elle étale sa beauté avec éclat. Lumineuse, mystérieuse par certains côtés, portant bien son histoire, la ville ne nourrit pas de complexes à l’égard des grandes métropoles de la rive nord de la Méditerranée. La capitale économique de l’Ouest du pays change de visage tout en restant elle-même, tout en conservant sa légendaire douceur de vivre. La façade maritime a...
Ce livre se veut être un guide touristique sur les richesses culturelles et patrimoniales de cette ville entre passé et présent… «Béjaïa, la perle de la Méditerranée» est le titre d'un nouvel ouvrage publié aux éditions AlBayazin au prix de 1200 DA. Un livre beaucoup plus pédagogique, qui mêle texte et photos pour vulgariser aux profanes cette belle ville méditerranéenne. «N'était-elle pas qualifiée à l'ère chrétienne de ‘' civitas splendissima ‘'? qui se traduit par ‘'ville splendide'' . Vega, Saldae, Vagayeth, Ennaceria, Bugia, Boudjelah et enfin Béjaïa était la porte d'un arrière-pays richement pourvu de blé, d'orge, d'écorce pour le tannage des...
Européens pour la plupart (hollandais, italiens, français, anglais), ils sont écrivains, artistes, peintres, poètes, militaires. Ils ont découvert, émerveillés, au hasard d’un voyage, d’une conquête, une ville et un peuple. Et ce fut le choc. Ils ont exprimé spontanément avec leurs outils respectifs, leurs sentiments et nous ont renvoyé objectivement, sans préjugés et sans concessions, une image vraie de ce qu’était Alger en cette première moitié du XIXe siècle : ses monuments, ses habitations, son urbanisme, la beauté du site, la civilisation de ses habitants. Allant souvent à contre-courant des préjugés établis, des discours officiels, volontairement belliqueux et méprisants, ils...
En 1944, Monseigneur Leynaud, alors archevêque d’Alger, émit le vœu d’ériger une église singulière dans la capitale. Elle est située en plein centre-ville, vers le haut de la rue Didouche Mourad, sur le terrain même où les Dames du Sacré-Cœur avaient bâti un collège en 1842. La construction de l’église a commencé à partir de 1956. En décembre 1962, elle a été élevée au rang de cathédrale, puis, consacrée en 1966. Voulant écarter le luxe, c’est le béton armé qui a été choisi comme matériau pour construire l’église, utile pour réaliser son architecture singulière : on pourrait penser à une...