Nadjet Seddiki

livre-agenda,L’Algérie et les JO 2024

Livre Agenda l'Algérie et les JO 2024

"Permettez-nous de vous présenter 'L’Algérie et les JO 2024', un captivant livre-agenda de 138 pages Divisé en plusieurs chapitres, cet ouvrage constitue un précieux document historique qui retrace l'épopée du sport algérien aux jeux Olympiques, offrant bien plus qu'un simple compte rendu.   Ce livre-agenda représente le fruit d'un travail de recherche méticuleux. Il célèbre les performances du sport algérien tout en rendant hommage aux athlètes d'antan de l'époque coloniale. De notre participation inaugurale en 1964 à Tokyo jusqu'aux récents exploits de 2021, le livre met en lumière les moments de gloire des 17 médaillés olympiques algériens, racontant comment ils...

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ALBAYAZIN REÇOIT LE TROPHÉE DU MEILLEUR GUIDE TOURISTIQUE

Algeria Tourism conférence&Awards 2022 Organisé pour le WORLD TRADE CENTER D’ALGER 2022 Le 6 avril 2022 s’ est tenue au Centre international des conférences (CIC) Abdellatif Rahal, la cérémonie de remise des prix aux lauréats. Cette cérémonie était présidée par M. Yacine Hamadi, ministre du tourisme et de l’artisanat en présence de plusieurs membres du gouvernement. Le prix du meilleur guide touristique de l’année a été attribué à la maison d’édition «Al Bayazin», le DG du World Trade Center d’Alger, Ahmed Tibaoui « a souligné l’importance d’honorer les lauréats ayant excellé dans le domaine du tourisme, insistant également sur la valorisation...

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ORIGINE DU NOM DE BÉJAÏA

illustration Béjaïa

Béjaïa, celle qui était connue sous l’empire romain avec l’appellation de Civitas Salditana, possédait tout naturellement un nom berbère qui a subi autant de déclinaisons que d’occupants. Elle aura été, tantôt arabisée, tantôt latinisée, s’adaptant aux alphabets des uns et des autres. La toponymie actuelle de Béjaïa viendrait donc du berbère Tabgayet – où l’on reconnaît le « t » marquant le féminin mais dont l’usage s’est effacé avec le temps. Il viendrait du mot:« tabegga » qui veut dire « ronces ». Cette racine berbère se retrouve également dans d’autres villes du Maghreb, à l’instar de Dougga (Thugga) et...

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La Cathédrale du sacré coeur- d’Alger.

Cathédrale sur sacré coeur. Al bayazin édition

En 1944, Monseigneur Leynaud, alors archevêque d’Alger, émit le vœu d’ériger une église singulière dans 
la capitale. Elle est située en plein centre-ville, vers
 le haut de la rue Didouche Mourad, sur le terrain même où les Dames du Sacré-Cœur avaient bâti un collège en 1842. La construction de l’église a commencé à partir de 1956. En décembre 1962, elle a été élevée au rang de cathédrale, puis, consacrée en 1966. Voulant écarter le luxe, c’est le béton armé qui a été choisi comme matériau pour construire l’église, utile pour réaliser son architecture singulière : on pourrait penser à une...

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UN DÉTOUR CHEZ DES ARTISANS AU COEUR DE LA CASBAH D’ALGER.

DÉVALANT LE DÉDALE DE LA CITÉ DE SIDI ABDERRAHMANE ETTAÂLIBI, LE QUIDAM PEUT DÉNICHER DES OBJETS SOUVENIR CHEZ DES ARTISANS QUI TENTENT TANT BIEN QUE MAL, DE FAIRE DE LA RÉSISTANCE POUR MAINTENIR VIVANT UN TANT SOIT PEU CE PAN DU PATRIMOINE ARTISANAL

Exerçant son métier de dinandier depuis une trentaine d’années, l’artisan Boudjemaa Gasti, qui élit ses quartiers dans la haute-Casbah, continue de s’adonner avec passion à son exercice artisanal aux côtés de son bi- nôme Belaid dans la rue Katarougil (qata’ erdjel), sise au n°2.

Grâce à leur doigté, ils façonnent des feuilles de cuivre rouge-brun ou jaune, dissemblables et parfois gâtées par le temps pour en faire des objets servant aux usages de la vie courante, des accessoires de décoration non sans créer également des pièces finement exécutées au pro- fit de certains magasins spécialisés d’Alger ou tout simplement pour l’usage de particuliers.

Devant l’œil curieux de touristes, nos artisans évoluent dans leur petit atelier au rythme du son métronomique du maillet et du ciseau, étamant, nickelant avant de donner forme à la pièce qu’ils cisèlent au gré des motifs floraux.

Cela vaut aussi le détour chez l’ébéniste Khaled Mahiout qui tient ses quartiers en amont de la rue de la Casbah. Un atelier qui ne désemplit pas de visiteurs de pas- sage qui profitent d’une pause pour s’imprégner un tant soit peu des essences de copeaux de bois.

Plus bas, à la rue Docteur Ben Larbey, le promeneur rencontre un maitre maroquinier qui évolue tel un ermite dans son échoppe à l’atmosphère monacale, perpétuant un legs ancestral. Un artisan qui force à une halte, tant la main experte et le cœur généreux, noblesse de l’artisan Mostefa Boulaachab, sont mis prodigieusement dans la matière première : le cuir basane ou de vachette est taillé, façonné avant de donner naissance à une gamme d’objets : sac, cartable, sac de voyage, ceinture, etc., qu’il estampille aux motifs du terroir avec ce ton de branché, synonyme de goût du jour.

Le visiteur peut s’offrir des souvenirs dans la place square Port-Saïd (ex-Bresson), face au TNA, où des éventaires achalandés de produits artisanaux sont disposés en enfilade ou encore faire une virée à la Maison de l’artisanat située à Oued Ko- riche (coincée entre Triolet et cité Pérez) ; c’est l’occasion de découvrir ce bel édifice érigé dans un style mauresque, qui abrite la corporation d’une quinzaine d’artisans (travail du vitrail, céramique, poterie, broderie, bijouterie, …).

Source pocket guide d’Alger- édition 2019

Crédit photo : Chafia Loudjici

Alger, un laboratoire architectural

L’Europe est en pleine effervescence en cette seconde moitié du XIXe siècle dans les domaines artistique et littéraire. L’architecture n’échappe pas à la règle. Mais la rigueur et l’autorité des organes de décision ne permettent pas à cette effervescence de s’exprimer à travers les villes françaises. Alger devient tout naturellement un champ d’expérimentation. Pendant un siècle, entre 1830 et 1930, cette architecture est partagée entre néo-classicisme européen utilisant toutes les déclinaisons du vocabulaire décadent : colonnes, pilastres, corniches, bas relief floraux… Les percées de La Basse Casbah, vers Bab el Oued ou les actuelles rues Abane Ramdane, Ben M’hidi, Réda Houhou...

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Communiqué de presse : ( Roman ) Le dépossédé de Fayçal Chehat

Roman, Le dépossédé Al bayazin éditions

Nouvelle parution : Le dépossédé  Auteur: Fayçal Chehat  Prix public : 750DZD Les éditions AlBayazin viennent d’éditer un roman de Fayçal Chehat : « Le dépossédé ». Son troisième roman. Les deux premiers édités en France. Qui est Fayçal Chehat ? C’est un journaliste de profession, né et formé en Algérie avant qu’il ne s’installe en France. Après des études supérieures (Institut Français de Presse), il commence par collaborer au mensuel de l’Amicale des Algériens en France avant d’opter pour le statut de journaliste indépendant. Son dada, après l’écriture, c’est le sport ». Il collabore à plusieurs périodiques et notamment...

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Regards entrecroisés sur Alger, cité vivante.

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aux  éditions  Al-Bayazin,  ce  sont  le caricaturiste  Hichem  Baba  Ahmed, alias Le Hic, le consultant et photographe Ahmed Aït Issad, l’animatrice de radio Amel Feddi et le jeune guide Yacine Boushaki qui ont livré leurs regards “entrecroisés” sur Alger.

La 5e Nuit des idées, événement culturel annuel organisé par l’Institut français dans plus de quatre-vingt-dix pays dont l’Algérie, s’est tenue simultanément avant-hier soir à Blida, à Alger, à Annaba et à Constantine. Vingt lieux et vingt partenaires ont ainsi ouvert leurs portes à des intervenants de tous bords, écrivains, plasticiens,  cinéastes,  musiciens  et  chercheurs, pour débattre, de 17h à 2h du matin, autour du thème “Être vivant”.

Parce  que  la  place  de l’homme est aussi liée à la planète,  le  thème  de  cette  année  questionne également sur les “équilibres écologiques et de la relation de l’homme au monde”. Aux éditions El-Bayazin, ce sont le caricaturiste Hichem Baba Ahmed, alias Le Hic, le consultant et photographe Ahmed Aït Issad, l’animatrice de radio Amel Feddi et le jeune guide Yacine Boushaki qui ont livré leurs regards “entrecroisés” sur la capitale algéroise.

Qu’elle soit “Vue  d’en  bas”, à travers  les  hommes et  les  femmes  qui  lui donnent  toute  son âme, sa musique, sa jeunesse, aussi créative que rebelle, son urbanité, et même l’image parfois trop glorifiante qu’on peut lui prêter, la capitale a été, pour ainsi dire, explorée, disséquée par des points de vue diamétralement opposés.


Pour  Amel  Feddi,  animatrice à  la Chaîne III, dont  la  carrière  a  débuté  à  la  rubrique  sportive, c’est au contact de musiciens de toute l’Algérie qu’elle rencontre dans le cadre de son émission “Diwane”, lancée en 2007, qu’elle découvre des trésors cachés d’oralité.

Transmis de génération en génération,  notre  patrimoine  oral  se  réinvente sous  de  nouvelles formes, grâce à une jeunesse qui a su en faire un moyen de contestation. “Je prends l’exemple de Ouled El-Bahdja et la Casa d’El Mouradia”, a expliqué Amel Feddi. “L’oralité est là finalement, les jeunes aujourd’hui, quand ils s’apprêtent à écrire des chansons, puisent dans cette culture populaire qui deviendra elle aussi une tradition orale.”

Et de poursuivre : “Alger est une ville qui foisonne ; depuis quelques mois, elle voit ses artistes crier via et grâce au Hirak, des jeunes viennent chanter, partager et proposer des idées pour le futur.” Le consultant et photographe Ahmed Aït Issad et Le Hic ont, pour leur part, livré des points de vue opposés sur la capitale.

De par son travail sur le terrain, intitulé “L’Algérie vue d’en bas”, Aït Issad veut démystifier l’image d’Alger qui reste “joyeuse, multiculturelle et authentiquement moderne”. Ses artistes de rue, par exemple Moh Vita et tant d’autres, sont l’âme même de la ville.

Le Hic, en revanche, a estimé que l’amour qu’il porte à Alger “est forcé”. “J’essaye de lui trouver du charme, mais je ne trouve pas du tout qu’elle est vivante. Si je me mets dans la peau du caricaturiste que je suis pour parler d’elle, je dirai qu’on nous reproche, nous qui travaillons dans les médias en général, de parler uniquement d’Alger. Donc, on a toujours ce réflexe d’essayer de se détacher d’Alger.”

Et au caricaturiste de “démystifier” l’image qu’on a d’Alger, de sa baie, de sa Casbah, car, dit-il, “Alger ne se limite pas à La Casbah, c’est aussi l’intérieur et des villes comme Dely Ibrahim, El-Harrach, Chéraga, etc.”.  Et même si elle est autant représentée dans ses caricatures, c’est “afin de situer le lieu, à travers quelques iconographies d’Alger, mais tout cela reste caricatural”.

Source : Yasmine Azzouz  “Quotidien Liberté” 

 

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